La dernière Europe
Dimanche le 16 avril 2000
Un article qui met en question l'dée reçue selon laquelle le Québec aurait plus d'affinités avec l'Europe que l'Amérique anglosaxonne qui l'entoure. « Quand j’entends les sirènes de la "Révolution tranquille" se féliciter d’avoir délivré la jeunesse québécoise du fléau des études classiques et d’avoir enfoncé le portail déjà grand ouvert de la modernité par le refus global de toute tradition et de toute nostalgie, je me dis que cette crise d’urticaire qui agita une génération à la fin de des années 1950 ne fut peut-être, au fond, qu’une réaction "barbare" contre un trop-plein d’Europe.»