Tout ce qu'on dit, dans les livres et dans la vie, du «plus vieux sentiment du monde» m'a toujours paru incomplet ou convenu. Exprimant mon opinion à ce sujet, j'avais à proclamer que l'amour n'existe pas; et l'on comprendra que j'ai reculé devant la charge d'une aussi mauvaise nouvelle. Je ne m'y résout aujourd'hui qu'assuré de la compenser par une bonne, qui est que l'amour existe; mais ce n'est pas celui qu'on croit.

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Les deux principales articulations de ce livre tiennent à la fausse passion, ou passion de convenance, et à la sensualité diffuse, avec ses annexes, que j'ai appelées l'ausette et le chatouillis.