De la conversation
Il faut y mettre de l’agrément et fuir l’obstination. Surtout que personne ne s’empare de la parole comme d’un terrain qui lui appartient, et n’essaye d’en exclure les autres. Il est bon qu’en cela, comme dans tout le reste, chacun ait son tour.
Il faut aussi remarquer le moment où la conversation cesse d’intéresser, et, de même qu’on a pris son temps pour la commencer, on doit la savoir finir à propos.