L'Encyclopédie sur la mort


Sépultures des premiers chrétiens

Ernest Renan

Selon Ernest Renan, les Grecs associaient la crémation à leur croyance en l'immortalité de l'âme tandis que les premiers chrétiens associaient l'inhumation à leur foi en la résurrection. Ce faisant, ils continuaient la tradition des juifs et d'autres religions orientales d'ensevelir leurs morts. Le grand penseur français nous plonge au coeur même de la mentalité de la première communauté chrétienne à Rome, en ce qui concerne la prise en charge collective des sépultures. C'est l'art de la Rome antique qui a inspire la décoration des tombeaux. L'art pictural chrétien est né et s'est développé à partir du culte des morts.

Les sépultures deviennent, dès la fin du deuxième siècle, une annexe de l'église et l'objet d'une diaconie ecclésiastique. Le mode de sépulture chrétienne fut toujours celui des juifs, l'inhumation, consistant à déposer, le corps enveloppé du suaire dans un sarcophage, en forme d'auge, surmonté souvent d'un arcosolium. La crémation* inspira toujours aux fidèles une grande répugnance (75). Les mithriastes et les autres sectes orientales partageaient les mêmes idées et pratiquaient, à Rome, ce qu'on peut appeler le mode syrien de sépulture. La croyance grecque à l'immortalité* de l'âme conduisait à l'incinération; la croyance orientale en la résurrection amena l'enterrement. Beaucoup d'indices portent à chercher les plus anciennes sépultures chrétiennes de Rome vers saint Sébastien, sur la voie Appienne. Là se trouvent les cimetières juifs et mithriaques (76). On croyait que les corps des apôtres Pierre et Paul avaient séjourné en cet endroit, et c'était pour cela qu'on l'appelait Catatumbas, «aux Tombes» (77).

Vers le temps de Marc-Aurèle*, un changement grave se produisit. La question qui préoccupe les grandes villes modernes se posa impérieusement. Autant le système de la crémation ménageait l'espace consacré aux morts, autant l'inhumation à la façon juive, chrétienne, mithriaque, immobilisait de surface. Il fallait être assez riche pour s'acheter, de son vivant, un loculus dans le terrain le plus cher du monde, à la porte de Rome. Quand de grandes masses de population d'une certaine aisance voulurent être enterrées de la sorte, il fallut descendre sous terre. On creusa d'abord à une certaine profondeur pour trouver des couches de sable suffisamment consistantes; là, on se mit à percer horizontalement, quelquefois sur plusieurs étages, ces labyrinthes de galeries dans les parois verticales desquelles on ouvrit les loculi. Les juifs (78), les sabaziens, les mithriastes (79), les chrétiens adoptèrent simultanément ce genre de sépulture, qui convenait bien à l'esprit congréganiste et au goût du mystère qui les distinguaient. Mais, les chrétiens ayant continué ce genre de sépulture pendant tout le III °, le IV ° et une partie du V ° siècle, l'ensemble des catacombes des environs de Rome est, pour sa presque totalité, un travail chrétien. Des nécessités analogues à celles qui firent creuser autour de Rome ces vastes hypogées en produisirent également à Naples, à Milan, à Syracuse, à Alexandrie.

Dès les premières années du III° siècle, nous voyons le pape Zéphyrin confier à son diacre Calliste le soin de ces grands dépôts mortuaires (80). C'est ce qu'on appelait des cimetières ou «dortoirs» (81) ; car on se figurait que les morts y dormaient en attendant le jour de la résurrection. Plusieurs martyrs* y furent enterrés. Dès lors, le respect qui s'attachait aux corps des martyrs s'appliqua aux lieux mêmes où ils étaient déposés. Les catacombes furent bientôt des lieux saints. L'organisation du service des sépultures est complète sous Alexandre-Sévère. Vers le temps de Fabien et de Corneille, ce service est une des principales préoccupations de la piété romaine (82). Une femme dévouée nommée Lucine dépense autour des tombes saintes sa fortune et son activité (83). Reposer auprès des martyrs, ad sanctos, ad martyres (84), fut une faveur. On vint annuellement célébrer les mystères sur ces tombeaux sacrés. De là des cubicula, ou chambres sépulcrales, qui, agrandies, devinrent des églises souterraines, où l'on se réunit en temps de persécution. Au dehors, on ajouta quelquefois des scholæservant de triclinium pour les agapes (85). Des assemblées dans de telles conditions avaient l'avantage qu'on pouvait les prendre pour funéraires, ce qui les mettait sous la protection des lois (86). Le cimetière*, qu'il fût souterrain ou en plein air, devint ainsi un lieu essentiellement ecclésiastique (87). Le fossor, en quelques églises, fut un clerc de second ordre, comme l'anagnoste et le portier (88). L'autorité romaine, qui portait dans les questions de sépulture une grande tolérance, intervenait très rarement en ces souterrains; elle admettait, sauf aux moments de fureur persécutrice (89) que la propriété des areæ consacrées appartenait à la communauté, c'est-à-dire à l'évêque. L'entrée des cimetières était, du reste, presque toujours masquée à l'extérieur par quelque sépulture de famille, dont le droit était hors de contestation (90).

Ainsi le principe des sépultures par confrérie l'emporta tout-à-fait au III ° siècle. Chaque secte se bâtit son couloir souterrain et s'y enferma. La séparation des morts devint de droit commun. On fut classé par religion* dans le tombeau; demeurer après sa mort avec ses confrères (91) devint un besoin. Jusque-là, la sépulture avait été une affaire individuelle ou de famille; maintenant, elle devient une affaire religieuse, collective, elle suppose une communauté d'opinions sur les choses divines. Ce n'est pas une des moindres difficultés que le christianisme lèguera à l'avenir.

Par son origine première, le christianisme était aussi contraire aux développements des arts plastiques que l'a été l'Islam*. Si le christianisme fût resté juif, l'architecture seule s'y fût développée, ainsi que cela est arrivé chez les musulmans; l'église eût été, comme la mosquée, une grandiose maison de prière, voilà tout. Mais les religions sont ce que les font les races qui les adoptent. Transporté chez des peuples amis de l'art, le christianisme devint une religion aussi artistique qu'il l'eût été peu s'il fût resté entre les mains des judéo-chrétiens. Aussi sont-ce des hérétiques qui fondent l'art chrétien. Nous avons vu les gnostiques entrer dans cette voie avec une audace qui scandalisa les vrais croyants. Il était trop tôt encore; tout ce qui rappelait l'idolâtrie était suspect. Les peintres qui se convertissaient étaient mal vus, comme ayant servi à détourner vers de creuses images les hommages dus au Créateur (92). Les images de Dieu et du Christ, j'entends les images isolées qui eussent pu sembler des idoles, excitaient l'appréhension, et les carpocratiens, qui avaient des bustes de Jésus et leur adressaient des honneurs païens, étaient tenus pour des profanes (93). On observait à la lettre, au moins dans les églises, les préceptes mosaïques contre les représentations figurées (94). L'idée de la laideur de Jésus, subversive d'un art chrétien, était généralement répandue (95). Il y avait des portraits peints de Jésus, de saint Pierre, de saint Paul; mais on voyait à cet usage des inconvénients (96). Le fait de la statue de l'hémorroïsse paraît à Eusèbe avoir besoin d'excuse; cette excuse, c'est que la femme qui témoigna ainsi sa reconnaissance au Christ agit par un reste d 'habitude païenne et par une confusion d'idées pardonnable (97). Ailleurs (98), Eusèbe repousse comme tout-à-fait profane le désir d'avoir des portraits de Jésus.

Les arcosolia des tombeaux appelaient quelques peintures. On les fit d'abord purement décoratives, dénuées de toute signification religieuse: vignes, rinceaux de feuillage, vases, fruits, oiseaux. Puis on y mêla des symboles chrétiens; puis on y peignit quelques scènes simples, empruntées à la Bible* et auxquelles on trouvait une saveur toute particulière en l'état de persécution où l'on était: Jonas sous son cucurbite ou Daniel dans la fosse aux lions (99), Noé et sa colombe, Psyché, Moïse tirant l'eau du rocher, Orphée charmant les bêtes avec sa lyre (100), et surtout le Bon Pasteur (101), où l'on n'avait guère qu'à copier un des types les plus répandus de l'art païen (102). Les sujets historiques de l'Ancien ou du Nouveau Testament n'apparaissent qu'à des époques plus récentes. La table, les pains sacrés, les poissons mystiques, des scènes de pêche, le symbolisme de la Cène, sont, au contraire, représentés dès le III ° siècle (103).

Toute cette petite peinture d'ornement, exclue encore des églises et qu'on ne tolérait que parce qu'elle tirait peu à conséquence, n'a rien absolument d'original. C'est bien à tort qu'on a vu dans ces essais timides le principe d'un art nouveau. L'expression y est faible; l'idée chrétienne tout-à-fait absente; la physionomie générale indécise. L'exécution n'en est pas mauvaise; on sent des artistes qui ont reçu une assez bonne éducation d'atelier; elle est bien supérieure, en tout cas, à celle qu'on trouve dans la vraie peinture chrétienne qui naît plus tard. Mais quelle différence dans l'expression! Chez les artistes du V°, du VII° siècle, on sent un puissant effort pour introduire dans les scènes représentées un sentiment nouveau; les moyens matériels leur manquent tout-à-fait. Les artistes des catacombes, au contraire, sont des peintres du genre pompéien, convertis pour des motifs parfaitement étrangers à l'art, et qui appliquent leur savoir-faire à ce que comportent les lieux austères qu'ils décorent.

L'histoire évangélique ne fut traitée par les premiers peintres chrétiens que partiellement et tardivement. C'est ici surtout que l'origine gnostique de ces images se voit avec évidence. La vie de Jésus que présentent les anciennes peintures chrétiennes est exactement celle que se figuraient les gnostiques et les docètes, c'est-à-dire que la Passion n'y figure pas. Du prétoire à la résurrection, tous les détails sont supprimés (104), le Christ, dans cet ordre d'idées, n'ayant pas pu souffrir en réalité (105). On se débarrassait ainsi de l'ignominie de la croix, grand scandale pour les païens. A cette époque, ce sont les païens qui montrent par dérision le dieu des chrétiens comme crucifié; les chrétiens s'en défendent presque (106). En représentant un crucifix, on eût craint de provoquer les blasphèmes des ennemis et de paraître abonder dans leur sens.
L'art chrétien était né hérétique; il en garda longtemps la trace (107); l'iconographie chrétienne se dégagea lentement des préjugés au milieu desquels elle était née. Elle n'en sortit que pour subir la domination des apocryphes, eux-mêmes plus ou moins nés sous une influence gnostique. De là une situation longtemps fausse. Jusqu'en plein Moyen Age, des conciles, des docteurs autorisés condamnent l'art; l'art, de son côté, même rangé à l'orthodoxie, se permet d'étranges licences. Ses sujets favoris sont empruntés, pour la plupart, à des livres condamnés, si bien que les représentations forcent les portes de l'église, quand le livre qui les explique en est depuis longtemps expulsé (108). En Occident, au XIII ° siècle, l'art s'émancipe tout-à-fait ; mais il n'en est pas de même dans le christianisme oriental. L'Eglise grecque et les Eglises orientales ne triomphent jamais complètement de cette antipathie pour les images qui est portée à son comble dans le judaïsme et l'islamisme. Elles condamnent la ronde bosse et se renferment dans une imagerie hiératique d'où l'art sérieux aura beaucoup de peine à sortir (109).

On ne voit pas que, dans la vie privée, les chrétiens se fissent scrupule de se servir des produits de l'industrie ordinaire qui ne portaient aucune représentation choquante pour eux. Bientôt, cependant, il y eut des fabricants chrétiens, qui, même sur les objets usuels, remplacèrent les anciens ornements par des images appropriées au goût de la secte (bon pasteur, colombe, poisson, navire, lyre, ancre) (110). Une orfèvrerie, une verrerie sacrée se formèrent, en particulier, pour les besoins de la Cène (111). Les lampes ordinaires portaient presque toutes des emblèmes païens; il y eut bientôt dans le commerce des lampes au type du bon pasteur, qui probablement sortaient des mêmes officines que les lampes au type de Bacchus ou de Sérapis (112). Les sarcophages sculptés, représentant des scènes sacrées, apparaissent vers la fin du III° siècle (113). Comme les peintures chrétiennes, ils ne s'écartent guère, sauf pour le sujet, des habitudes de l'art païen du même temps.

NOTES
(75) Pseudo-Phocylide, vers 99 et suiv., Bernays, p. VII et suiv. ; Minicius Félix, 11, 34.
(76) Les inscriptions chrétiennes des catacombes ne remontent qu'au commencement du III° siècle. Les inscriptions plus anciennes qu'on y rencontre ne sont pas chrétiennes; elles ont été apportées dans les catacombes au IV ° siècle, avec tant d'autres matériaux étrangers pour le scellage des loculi. L'inscription censée de 71 (n°1 de Rossi) est d'un christianisme douteux. Le n°2 ne compte pas. Le n° 3 n'a pas appartenu d'abord aux catacombes. De là, on saute à l'an 204, et il s'en faut encore que l'on soit sur un terrain sûr. En somme, l'intérêt des catacombes se rapporte surtout au III°siècle. On peut faire une exception pour la catacombe de Domitilla (de Rossi, Bull., 1865, p. 33 et suiv., 189 et suiv.) ; mais le caractère primitif de ce monument est très incertain.
(77) Voir l'AnteChrist, p. 192, 193, note.
(78) Catacombe juive de la Vigna Randanini, près Saint-Sébastien. Les loculi y sont disposés comme les kokim des sépultures juives de Palestine, c'est-à-dire en guise de fours, avec des sarcophages. La catacombe juive de la Porta Portese est perdue. Une troisième se trouve très près de l'église Saint-Sébastien. Toutes ces catacombes paraissent postérieures au II° siècle.
(79) V. ci-après.
(80) Philos., IX, 12, p. 456, Duncker et Schneidewin.
(81) Ce mot s'applique aussi à une tombe isolée. Voir de Rossi, Roma sott., 111, p. 427 et suiv.
(82) G. Boucher, Cyc/., p. 271 ; Baronius, année 245, §, 2.
(83) Voir l'Antechrist, p. 4-5.
(84) Le Blant, Inscr., l, n041 ; Marchi, Monum., p. 150 ; saint Augustin, De cura pro mort. ger., c. VII (5) ; saint Grégoire de Nazianze, etc.
(85) Hypogée de Domitille.
(86) Voir les Apôtres, p. 356 et suiv.
(87) Areœeorum non sint. Tert., Ad Scap., 3. Cf. Ruinart, p. 208.
(88) Marchi, p. 87 et suiv.; saint Jérôme, Epist. ad Innocentium, col. 26 (IV, 2ème part.); Code Théodosien, VII, tit. XX, loi 12 ; traité De septem gradibus Ecclesiæ, à la suite de saint Jérôme, t. Xl, Vallarsi : «Primus in clericis fossariorum ordo est».
(89) Sous Valérien, sous Maximien.
(90) Les catacombes chrétiennes s'ouvrent presque toujours derrière des sépultures païennes, qui en dissimulent l'ouverture. Il en est ainsi à la catacombe de saint Calliste, à celle de Flavia Domitilla, et aux deux entrées de celle de saint Prétextat.
(91) Ad religionem pertinentes meam. De Rossi, Bull., 1865, p.54, 94-95 (cf. ibid., août 1864, schola sodalium Serrensium) ; Roma sotterr., l, p. 101 et suiv. ; Revue arch., avril 1866, p. 225 et suiv., 239-240. Comparez le Collège des paenistes, près Sainte-Agnes.
(92) Tertullien, In Hermog., 1 ; De monog., 16.
(93) Irénée, l, XXV, 6.
(94) Clém. dAlex., Cohort., 4; Strom., l, 45 ; Ill, 4; V, 5, 6, 14 ; VI, 17 ; V1I, 4; Macarius Magnes, dans Pitra, Spic. Sol., l, p. 324-325 ; conc. d'Elvire, canon 36.
(95) Tertullien, Adv. Jud., 14 ; De carne Christi, 9 ; Clém. d'Alex., Pædag., Il l, 1 ; Origène, Contre Celse, VI, 75.
(96) Eusèbe, H. E., V1I, XVIII, 4.
(97) Eus. H. E., VII, ch. XVlIl, 4. Cf. Macarius Magnes, dans Pitra, Spic. Sol., l, p. 332.:13 1
(98) Lettre à Constantia, dans l'édition de Migne, II, col. 4545 et suiv., ou dans Pitra, Spic. Sol., l, p. 383 et suiv.
(99) Comp. Clém. Rom., Epist., 45; Celse dans Orig., VII, 53 (en gardant epi tè cholochuntè Delarue, p. 732, note; Aubé, p. 368, note 1) ; Tertullien, saint Cyprien.
(100) Cimetière de saint Calliste.
(101) Tertullien, De pudic., 7, 10. Cf. vision de Perpétue, Acta, 4, In habitu pastoris.
(102) Guigniaut, Rel. de l'ant., planches, fig. 908 el suiv.
(103) En général, on a exagéré l'ancienneté des peintures des catacombes. (De Rossi, Bull.1863, p. 22, 83, 91 ; 1865, p. 36 ; Roma sott. I, p.346 et suiv.; Revue archéol., sept. et oct. 1880. La plupart sont du IV ° siècle, une partie du III°. L'hypogée de
Domitille peut être antérieur (de Rossi, Bull., 1865, p. 36, 42, 45 ; 1874,5,35,122-125 ; 1875,1-43,45-47).
(104) Le Blant, Sarcoph. d'Arles, p. 18 ; Journ. des sav., octobre 1879, p. 636.
(105) Voir les Evangiles, p. 421-422.
(106) Minucius Félix, 9, 29.
(107) Pour la statue de l'hémorroïsse, qui paraît avoir été une représentation allégorique des gnostiques, voir ci-dessus, p. 460, note 1, et l'Eglise chrétienne, p. 172, note.
(108) Voir l'Eglise chrétienne, ch. XXVI et XXVII.
(109) Le grand reproche que les vieux croyants faisaient aux églises du patriarche Nicon, c'est «qu'on y voyait des Christs qui ressemblaient à des hommes». (Tourguenief)
(110) Tertullien, De pudic., 7, 10 ; Clément d'Alex., Pædagogus, 1Il, 11.
(111) Voir Saint Paul, p. 266 ; Tertullien, De pudic., 7, 10.
(112) Le Blant, Revue arch., janv. 1875, p. 1 et suiv., lampes ANNISER ; Revue crit., 1874, Il, p. 224.
(113) De Rossi, Inscr. christ., n° 12,73, 118, 275; Bottari, Rom. sottt., t. l, tav. 15; Le Blant, Sarcoph. d'Arles, p. 3 et suiv.
Date de création:-1-11-30 | Date de modification:-1-11-30

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