La douleur de demeurer

Hubert Aquin
Le poète transcende sa douleur dans une fuite en avant qui va plus loin que la vie.
Demeurer m'est douloureux, sinon dans une chose en mouvement. [...] Je suis ce qui fuit. [...] Ô tombeau ouvert, fuite vivante, Fangio, c'est toi mon père. Tu m'as engendré dans une courbe à Sebring par un après-midi torride...

Autres articles associés à ce dossier




Articles récents