On a tendance à l'oublier, mais il y n'a pas que des mauvaises nouvelles. C'est que ce que nous rappelle Jacques Attali dans son dernier éditorial.
« Sans nier la gravité des périls, je voudrais rappeler ici une évidence trop souvent tue : la partie n’est pas terminée:
Sam Van Aken, artiste contemporain, combine des techniques artistiques traditionnelles et innovantes pour explorer des thèmes comme l’agriculture, la botanique, la climatologie et la communication. Ses interventions dans les milieux naturels et publics ont même donné lieu à des recherches scientifiques. L’un de ses objectifs est de réintroduire des variétés anciennes de fruits, aujourd’hui absentes des circuits commerciaux, et de les rendre accessibles dans des espaces publics, comme c’est le cas avec le projet Open Orchard près de New York.
Dans une vidéo de cinq minutes disponible sur la chaîne YouTube de TEDx, Van Aken explique comment il a conçu et développé cet arbre aux 40 fruits.
Enfin, dans L’art de la greffe sur un milieu vivant, Jacques Dufresne souligne que les principes de la greffe s’appliquent aussi à l’humain : ils nous éclairent sur la manière de nous réenraciner dans un nouvel environnement.
« François a voulu largement s’entourer pour rédiger ce document, abordant des sujets disputés, sur lesquels les climatosceptiques l’attendent au tournant."Il a fait travailler beaucoup de monde, des théologiens, catholiques comme d’autres confessions, et s’est appuyé sur les travaux de nombreuses conférences épiscopales », raconte le père Joshtrom Isaac Kureethadam, ancien chef de bureau au dicastère pour le développement humain intégral chargé de l’écologie. " Les scientifiques ont aussi fortement contribué à ce travail. " »
La Croix publie une série de textes qui souligent le 10e anniveraire de l'encyclique Laudato Si.
À lire également, L'éthique écologique et la pensée systémique du Pape François, un commentaire de l'encyclique par Fritjof Capra dans notre site.
«L’aqueduc d’Hadrien capte l’eau de nappes phréatiques des environs et l’achemine par des canalisations souterraines jusqu’au centre-ville, en traversant huit municipalités. Long de 24 km et accessible par environ 300 puits, il a servi à transporter de l’eau jusqu’à la fin des années 1920 avant d’être remplacé par un réseau moderne. Bien que plusieurs sections aient été endommagées, l’aqueduc est encore fonctionnel, mais son eau était jusqu’à récemment rejetée à la mer. Une véritable perte pour la capitale grecque, qui manque régulièrement d’eau et cruellement d’espaces verts.»
À lire dans Québec-Science