Compte rendu du film Réjeanne Padovani de Denys Arcand qui brosse un portrait peu flatteur de la classe politique d'une époque qu'on espère révolue.
De ma lecture du roman de Louis Hémon, il y a plus de vingt ans, je n'avais retenu que l'essentiel, cet amour très romantique entre Maria Chapdelaine et Francois Paradis, amour brisé par un destin inexorable incarné ici par une nature rebelle don
Il y a quelques années, Gilles Carle disait que le Québec avait besoin d'un cinéma «en largeur» plutôt qu'«en profondeur», un cinéma d'exploration plutôt que d'introspection. Il en donne une brillante démonstration avec La vraie nature de
Critique du film Gina de Denys Arcand parue dans la revue Relations en 1975. On y retrouve également une analyse du contexte de la production cinématographique de l'époque et des défis auxquels les cinéastes sont alors confrontés (censure, pass
Depuis la fin de la dernière guerre, le cinéma de qualité a voulu témoigner de la société et de l'homme par une analyse en profondeur de sujets ou de situations-types. La télévision, par ailleurs, vivant au rythme de l'actualité, transmet un
On ne sort pas facilement du bois. À moins d'y retourner et d'apprendre à bien voir dans les yeux et le corps des gens, dans les anciens «campes» désaffectés avec leurs photographies kétaines encore accrochées aux murs, leurs piles de Sélect
J'ai 18 ans le 12 novembre 1960. Je fais alors le cours classique, classe de rhétorique, pensionnaire au Séminaire de Gaspé (petite ville à mille kilomètres de Montréal), institution pauvre où des prêtres diocésains s’acharnent à form
Ce texte est tiré du livre Le cinéma de la Révolution tranquille de Panoramique à Valérie, étude réalisée en 1990-1991 et publiée à 300 exemplaires par l'Institut québécois du cinéma et le cégep Ahuntsic. Le corps de l'ouvrage est const
Ce texte est tiré du livre Le cinéma de la Révolution tranquille de Panoramique à Valérie, étude réalisée en 1990-1991 et publiée à 300 exemplaires par l'Institut québécois du cinéma et le cégep Ahuntsic. Le corps de l'ouvrage est const
Ce texte est tiré du livre Le cinéma de la Révolution tranquille de Panoramique à Valérie, étude réalisée en 1990-1991 et publiée à 300 exemplaires par l'Institut québécois du cinéma et le cégep Ahuntsic. Le corps de l'ouvrage est const
Ce texte est tiré du livre Le cinéma de la Révolution tranquille de Panoramique à Valérie, étude réalisée en 1990-1991 et publiée à 300 exemplaires par l'Institut québécois du cinéma et le cégep Ahuntsic. Le corps de l'ouvrage est const
J'ai composé ce texte en juin 1989, avant de relire Les frères Karamazov de Dostoievski. Si j'avais bien identifié les phrases du début, je ne savais pas encore que la réplique de Constance («ça lui donne tant de plaisir...») était aussi tir
En ce milieu de mai, il semble bien que Les Plouffe, après seulement quatre semaines de projections dans une vingtaine de salles réparties partout au Québec, soit en train d'approcher les records d'assistance que seulement Deux femmes en or ou que