Seul Villon, qui a lui aussi passé sa vie dans la pauvreté, aurait pu trouver grâce aux yeux de Léon Bloy, qui connut une vie de misère indescriptible, entouré d'une véritable conspiration du silenc
Mon cher André, quelques lignes de réponse à vos reproches (...) Huysmans ne s'efforce pas vers la Vérité, comme vous le croyez, mais vers le Succès, ce qui est exactement le contraire. Il semble n'avoir jamais pu se dessoûler de la victoire i
"Réponse à un imbécile, dictée à un secrétaire bénévole" (Léon Bloy).
Le texte présenté sur cette page a d'abord paru dans le journal Gil Blas de Juillet 1893 à Avril 1894, puis fut repris avec d'autres dans le recueil Histoires désobligeantes (Dentu, 1894 et Crès, 1914).
Le texte présenté sur cette page a d'abord paru dans le journal Gil Blas de Juillet 1893 à Avril 1894, puis fut repris avec d'autres dans le recueil Histoires désobligeantes (Dentu, 1894 et Crès, 1914).
Le texte présenté sur cette page a d'abord paru dans le journal Gil Blas de Juillet 1893 à Avril 1894, puis fut repris avec d'autres dans le recueil Histoires désobligeantes (Dentu, 1894 et Crès, 1914).
Le texte présenté sur cette page a d'abord paru dans le journal Gil Blas de Juillet 1893 à Avril 1894, puis fut repris avec d'autres dans le recueil Histoires désobligeantes (Dentu, 1894 et Crès, 1914).
Le texte présenté sur cette page a d'abord paru dans le journal Gil Blas de Juillet 1893 à Avril 1894, puis fut repris avec d'autres dans le recueil Histoires désobligeantes (Dentu, 1894 et Crès, 1914).
Une critique dévastatrice du roman En 18.. des frères Goncourt.
Le « mendiant ingrat » malmène vigoureusement le roman Chérie.
Le texte présenté sur cette page a d'abord paru dans le journal Gil Blas de Juillet 1893 à Avril 1894, puis fut repris avec d'autres dans le recueil Histoires désobligeantes (Dentu, 1894 et Crès, 1914).
Le texte présenté sur cette page a d'abord paru dans le journal Gil Blas de juillet 1893 à avril 1894, puis fut repris avec d'autres dans le recueil Histoires désobligeantes (Dentu, 1894 et Crès, 1914).
Le texte présenté sur cette page a d'abord paru dans le journal Gil Blas de Juillet 1893 à Avril 1894, puis fut repris avec d'autres dans le recueil Histoires désobligeantes (Dentu, 1894 et Crès, 1914).
« Avez-vous remarqué la haine infinie, la haine d'exception, tragique et surnaturelle, intraduisible, même en patois carthaginois, dont l'humanité généreuse rémunère tout promulgateur d'ABSOLU?
[...] si quelque lueur d'Absolu se manifeste
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A toutes les époques, même en Danemark, même au temps de notre pire misère, nous avons toujours eu un jardin, non pour y cultiver des légumes, mais pour y semer quelques fleurs. Nous en avons besoin. Cela nous est nécessaire, vous m’entendez
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Charge féroce et délicieuse contre l'avarice et l'hypocrisie.
Texte publié en guise de préface au premier tome de Quatre ans de captivité à Cochons-sur-Marne (juillet 1900- avril 1904), Paris, Mercure de France, 1905. Le texte constituait l'épilogue de Léon Bloy devant les cochons, Paris, Chamuel, 1894.
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