Quelques années s'étaient écoulées : l'époque où j'avais rencontré Adrienne devant le château n'était plus déjà qu'un souvenir d'enfance. Je me retrouvai à Loisy au moment de la fête patronale. J'allai de nouveau me joindre aux chevalier

C’est, croyons-nous, le premier article qui ait été écrit en français sur Lohengrin. Il fait partie d’une description des fêtes de Weimar en 1849 et a été réuni, sous la rubrique de Souvenirs de Thuringe, à quelques autres articl

Quand le plaisir brille en tes yeux Pleins de douceur et d’espérance, Quand le charme de l’existence Embellit tes traits gracieux, – Bien souvent alors je soupire En songeant que l’amer chagrin, Aujourd’hui loin de toi

« I De toutes les belles choses Qui nous manquent en hiver, Qu'aimez-vous mieux ? – Moi, les roses ; – Moi, l'aspect d'un beau pré vert ; – Moi, la moisson blondissante, Chevelure des sillons ; – Moi, le rossignol qui chant

Voici un poème datant du XIXe siècle qui, sans être un commentaire de la doctrine de Pythagore, n'en restitue pas moins l'esprit en évoquant la parenté entre l'âme du monde, celle de l'homme, celle des animaux et même celle des choses.

« Quiconque a regardé le soleil fixement Croit voir devant ses yeux voler obstinément Autour de lui, dans l'air, une tache livide. Ainsi tout jeune encore et plus audacieux, Sur la gloire un instant j'osai fixer les yeux : Un point noir est restÃ

Je suis le ténébreux — le veuf, — l'inconsolé, Le prince d'Aquitaine à la tour abolie; Ma seule étoile est morte, — et mon luth constellé Porte le soleil noir de la Mélancolie. Dans la nuit du tombeau, toi qui m'as consolé,

Extrait de «En marge des Illuminés», in Les Illuminés ou Les Précurseurs du socialisme (Oeuvres de Gérard de Nerval; textes établis par Henri Lemaitre, Paris, Garnier, 1986 (Classiques Garnier)