Voici trois chansons qui sont des poèmes sur la nature, grande consolatrice. Voir Croquis laurentiens, texte intégral.
Où on voit que le frère Marie-Victorin était également un fin linguiste. Voir Croquis laurentiens, version intégrale.
La montagne de Beloeil. Voir Croquis laurentiens, texte intégral.
Le frère Marie-Victorin connaît bien Longueuil: en 1905, il enseigne la composition française, l'algèbre, la géométrie et la botanique au Collège de Longueuil. Voir Croquis laurentiens, texte intégral.
Une «belle nappe d'eau limpide encaissée dans les montagnes et parsemée d'îlots à la couronne de sapins toujours verts», décrite par Aubert de Gaspé dans Les Anciens Canadiens. Voir une carte de la Côte-du-Sud. Voir également Croquis lauren
Outre le lac Témiscamingue, il est question de Ville-Marie, la plus ancienne localité de l'Abitibi-Témiscamingue. Voir Croquis laurentiens, texte intégral.
Sur la continuité des traditions à Havre-aux-Maisons. Voir Croquis laurentiens, version intégrale.
Sur deux ensorcellantes Îles-la-Madeleine: le Havre-au-Ber et l'Étang-du-nord. Voir Croquis laurentiens, texte intégral.
Le frère Marie-Victorin marie admirablement bien la géographie physique et la géographie humaine. Voir Croquis laurentiens, version intégrale.
Marie-Victorin allie la peinture de moeurs avec la description des beautés de la nature. Voir Croquis laurentiens, version intégrale.
C'est à l'Ile-aux-Coudres que fut célébrée la première messe au Canada, en 1535. Voir Croquis laurentiens, texte intégral.
Voici dans leur intégralité les Croquis laurentiens, du frère Marie-Victorin.
Voici la fin de la tournée des Îles, qui nous a menés vers vers le Havre-au-Ber, l'Étang-du-nord, le Havre-aux-Maisons, la Grande-Entrée, la Grosse-Ile et finalement Brion, «l'enfant perdu de la Madeleine». Voir Croquis laurentiens, version in
Le village qui meurt. Voir Croquis laurentiens, texte intégral.