Le texte présenté sur cette page a d'abord paru dans le journal Gil Blas de juillet 1893 à avril 1894, puis fut repris avec d'autres dans le recueil Histoires désobligeantes (Dentu, 1894 et Crès, 1914).
Où l'auteur montre qu'on ne saurait améliorer les rapports entre générations, si l'on ne trouve pas d'abord le moyen de libérer du temps pour les activités contemplatives.