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Histoire de la langue française |
Aperçus | Documentation | Documents associés |
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Documentation |
Livres | Landick, Marie. En collaboration avec Henriette Walter, Jean-Marie Pontier, Anne Judge, Stephen Judge, Emmanuelle Labeau et Malcom Offord. La langue française face aux institutions. Paris, L'Harmattan, 2003, 136 p. Présentation sur le site de l'éditeur : «Les institutions ont joué un rôle incontestable dans la standardisation et la codification du français. Elle se tournent aujourd'hui vers sa défense aux niveaux régional, national et international. Comment le dictionnaire français a-t-il évolué? Qui protège le français et comment? Quel est le rôle de l'Etat par rapport à la langue française. Qui peut légiférer en matière de langue? Comment les lois sur la langue française ont-elles évolué? Quelles sont les conséquences, pour la France et la Corse, de la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires? etc.» (2003) | Dubois, Colette, Jean-Michel Kasbarian et Ambroise Queffélec, L’expansion du français dans les Suds (XVe-XXe siècles), Aix-en-Provence, Publications de l’Université de Provence, 2000, 349 p. Compte rendu : Alain Rouaud, «Chronique bibliographique», Cahiers d'études africaines, 166, 2002. (2000) |
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| | Ordonnance de Villers-Cotterêts (extraits) | | France, administration, langue | «Le 10 août 1539, le roi François 1er signe à Villers-Cotterêts une ordonnance de 192 articles. Le Parlement de Paris l'enregistrera le 6 septembre. (... |
| | La langue française dans le monde au tournant du XXe siècle | Ferdinand Brunot | | Situation du français dans le monde, à l'époque où Onésime Reclus forge le mot «francophonie», par un grand historien de notre langue. Si le français est encore, en bien des contrées, la langue de la culture, déjà, on peut le voir, l'anglais étend ses tentacules, notamment pour ce qui est du commerce. |
| | La langue de la liberté | Ernest Renan | | Je n'en finirais pas, Mesdames et Messieurs, si je voulais énumérer, siècle par siècle, toutes les phrases utiles à l'humanité qui sont écloses en notre chère langue. C'est une langue libérale, vraiment. Elle a été bonne pour le faible, pour le pauvre, ajoutons pour l'homme intelligent, pour l'homme d'esprit. |
| | Le français, langue universelle au XVIIIe siècle | Paul Hazard | | Non seulement à l’italien, à l’espagnol, mais au latin, qui formait un des liens de la communauté européenne, le français se substitue. « Tout le monde veut savoir parler français; on regarde cela comme une preuve de bonne éducation; on s’étonne de l’entêtement qu’on a pour cette langue et cependant on n’en revient point; il y a telle ville où, pour une école latine, on en peut bien compter dix ou douze de françaises;» |
| | Le français classique | Hippolyte Taine | | « (...) Entre Amyot, Rabelais, Montaigne d’un côté, et Chateaubriand, Victor Hugo, Honoré de Balzac de l’autre, naît et finit le français classique. Dès l’origine il a son nom : c’est la langue des honnêtes gens; il est fait, non seulement pour eux, mais par eux (...) » |
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