Un mois avant sa mort, Pozzi compose ce poème qu'elle dédie «À Louise aussi de Lyon et d’Italie», son propre nom de baptème étant Catherine-Marthe-Louise Pozzi. On reconnaît les mots de Louise Labé: «Ô noires nuits vainement attendue
C'est au sommet de la société que l'on travaille le plus aujourd'hui. L'auteur interprète ce renversement à la lumière des propos de Schopenhauer sur les deux causes du malheur entre lesquelles les hommes oscillent: la misère et l'ennui.